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Haïti : Citadelle la FerrièreHaïti : Citadelle la Ferrière

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Ville May 08, 2024

Découvrez Cap-Haïtien : La 2ème ville d’Haïti

Cap-Haïtien, est une ville côtière de département nord d’Haïti, autrefois connue sous les noms de Cap-Français ou Cap-Henri. Dominée par la montagne du Morne Jean, cette destination offre une Immersion dans le passé colonial français et la révolution haïtienne. Niché par des baies pittoresques et bordé par la rivière Haut-du-Cap, le Cap-Haïtien séduit les voyageurs en quête d’authenticité et d’aventure balnéaire. La ville, riche en histoire et en culture, a vu naître des artistes renommés comme Philomé Obin et anime une scène musicale vibrante avec les groupes Septentrional et Tropicana d’Haïti. Ses trésors cachés, dont la Citadelle La Ferrière et le site historique de Vertières, ainsi que ses paysages naturels magnifiques, font du Cap-Haïtien une destination incontournable dans les Caraïbes. Plages paradisiaques à Labadie et ruelles pavées évoquant un passé riche invitent les visiteurs à plonger totalement dans l’histoire et la culture haïtiennes. Le Cap-Haïtien,anciennement Cap-Français ou Cap-Henri, est la deuxième ville d’Haïti, chef-lieu du département du Nord et de l’arrondissement de Cap-Haïtien.Située sur la côte septentrionale de la République d’Haïti, était considérée au XIXe siècle comme le port le plus sûr.Dominée par la montagne du Morne Jean,culminant à 718 mètres d’altitude, la ville se trouve à l’embouchure de la rivière Haut-du-Cap, sur la côte ouest de la baie du Cap-Haïtien. À l’ouest de l’agglomération s’étend en profondeur la baie de l’Acul.

Par Jarule Laguerre | 2
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Pitié ou l’œuvre d’une vieille âme écrasée sous le poids d’une existence au goût d’absinthe

Le vocable crise charrie une infinité de sens. Nulle intention de les révéler tous cet après-midi. Toutefois, quelques précisions s’imposent. Une gamine dont les parents ne disposent pas de fonds suffisants à Noël pour lui acheter une poupée de la petite Sirène noire pique une crise et s’enferme dans sa chambre à double tour sans toucher à ses repas de la journée. Un garçon dont le chien a été empoisonné subitement par un voisin pour se venger ou abattu ayant contracté la rage, perdant du jour au lendemain un ami fidèle, entre en crise. Pour finir une société en proie à toutes sortes de mutations et dont les dirigeants sont veules, peut-être prolongée dans une profonde crise. Dans le premier cas, la jeune fille boude pour attirer l’attention de ses parents afin de se sentir apprécier des enfants de son âge à l’école ou dans le voisinage. Aujourd’hui, une trentaine de minutes de négociations peuvent suffire pour y dégager une solution durable. De mon temps, quelques coups de ceinture bien sentis aurait eu raison de ce caprice. Mais, l’humanité évolue, dit-on. Dans le deuxième cas, ce garçon peut retrouver le sourire au bout de quelques semaines. Il lui faut un peu d’attention et, sans doute un autre chien. Comme dirait Stendhal, seule la passion triomphe de la passion. Dans le dernier cas, cette société dirigée par des ineptes est secouée dans ses assises profondes. Ses institutions peuvent une à une se déliter. Les forces vives se dissoudre en un rien de temps. Cette situation crée un tsunami sociétal qui détruit toute vie au sein de cette collectivité. C’est effectivement une crise. La crise de ce point de vue constitue une situation alarmante, désespérée dans l’existence d’une communauté où rien ne va. Le chaos y règne en maître. L’essence même de la vie disparaît. L’individu peut prendre le pas sur la collectivité. Chacun tentant de résoudre ses problèmes sans se soucier d’autrui. Le voisin le plus proche est relégué à des années lumières de soi. Comment se tourner vers la création? Comment continuer à concevoir l’altérité? Comment l’artiste peut s’imprégner de ce grand désarroi collectif comme source de motivations? Voilà les questions auxquelles je dois répondre. Un artiste voit et sent ce que le commun des mortels ne peut même pas imaginer dans une vie de mille ans. Il crée pour dénoncer, quand sa conscience d’être humain est révoltée. Il exalte les héros ou la patrie selon son ressenti. Il chante la beauté d’une femme irrésistible, envoûtante ou mochement resplendissante. Il peut aussi se servir de la désolation ambiante pour donner un sens à la vie. Créer en littérature comme dans les arts en général ne dépend pas de la conjoncture. L’acte de création est fonction des dispositions du créateur. Les événements tétanisent certains et galvanisent d’autres. Créer est jouissif. Chacun jouit donc selon sa fantaisie. Écrire ouvre la voie au changement. L’écrivain jette un regard différent sur le monde. En s’incrustant dans le réel il l’enjolive, le rend meilleur ou hideux selon le message qu’il entend partager. Tout compte fait, avec lui la vie n’est jamais figée. Écrire c’est mettre le monde dans un bocal pour y parcourir l’univers. L’artiste couve son œuvre par tous les temps. Oswald Durand métait en joie d’apercevoir le beau corps de Choucoune de son observatoire secret. Musset par contre dans la douleur rédigeait sa nuit d’octobre. Quant à Dany Laferrière, en exil, il décrivit les horreurs de la dictature duvaliériste et l’insouciance des jeunes filles de son quartier dans ce monde violent et dangereux. En définitive, l’écrivain vit dans une société avec des valeurs qu’il partage ou non. Elles conditionnent son existence ou n’ont aucune prise sur lui. À bien des égards, le monde ambiant lui sert de laboratoire. Il y réalise ses expérimentations. Il jette sur le monde un regard neuf, usé, désabusé, mélancolique, violent, plein d’aigreur selon son humeur. Pitié est l’œuvre d’une vieille âme écrasée sous le poids d’une existence au goût d’absinthe. Le jeune Mike Bernard Michel vit d’expédients et de mensonges. Les mains de la vie s’abattent sur lui avec une violence indescriptible. Le malheur l’étreint dans ses bras jour et nuit. Faut-il pour autant baisser les bras ? Musset aimait à dire : « l’homme est un apprenti, la douleur est son maitre. Et nul ne se connait tant qu’il n’a pas souffert. » L’artiste doit produire sous tous les cieux. Telle est sa vocation. Les incompétents au pouvoir, les bandits légaux ou de grands-chemins, la cherté de la vie, le chômage, les chagrins d’amour sont autant de sujets de préoccupations pour lui. S’il est vrai que ventre affamé n’a point d’oreilles, toujours est-il qu’il garde le cerveau en éveil. Que dis-je, il le stimule au point de créer des œuvres intemporelles. Monsieur Pitié vous avez un bel avenir devant vous. Oeuvre de Jean Rony Charles, le livre est disponible chez les Éditions Repérage.

Rythmes haïtiens : Explorer les traditions musicales et dansantes

Haïti, terre riche en histoire et en diversité culturelle, offre un trésor musical unique à travers ses rythmes captivants. La musique haïtienne, profondément enracinée dans la fusion de différentes influences africaines, européennes et caribéennes, constitue une expression vibrante de l’identité nationale. L’un des éléments distinctifs de la musique haïtienne est sa diversité rythmique, reflétant les multiples facettes de la vie quotidienne, des célébrations religieuses aux moments de joie et de peine. Les rythmes haïtiens, porteurs d’une énergie contagieuse, sont le reflet de l’âme du peuple haïtien. L’un des genres musicaux les plus emblématiques d’Haïti est le compas direct, qui a émergé dans les années 1950. Ce rythme entraînant, associé à des mélodies envoûtantes, a conquis les cœurs à l’échelle mondiale. Le compas direct incarne la fusion de différents styles musicaux, dont le jazz, le merengue, et des éléments de la musique traditionnelle haïtienne. Les traditions musicales haïtiennes ne se limitent pas aux sonorités contemporaines. Le vodou, une pratique spirituelle ancestrale, a également une influence majeure sur la musique haïtienne. Les rythmes vodou, souvent associés aux cérémonies religieuses, créent une connexion profonde entre la spiritualité et l’expression artistique. Par ailleurs, la danse est indissociable de la musique haïtienne. Les mouvements gracieux et énergiques de danses traditionnelles comme le rasin, associés aux rythmes envoûtants, transportent les danseurs et les spectateurs dans un monde où l’expression corporelle devient une forme d’art vivante. Explorer les traditions musicales et dansantes d’Haïti revient à plonger dans un univers où l’histoire, la culture et la spiritualité se tissent harmonieusement. Ces rythmes, transmis de génération en génération, sont bien plus que de simples notes ; ils incarnent l’âme d’un peuple et la richesse de sa diversité. En célébrant ces traditions, on rend hommage à l’héritage culturel exceptionnel d’Haïti et à sa contribution inestimable à la scène musicale mondiale.

Caractéristique d’un lapin

Les lapins sont des mammifères appartenant à la famille des Leporidae. Voici quelques-unes de leurs caractéristiques principales : 1. **Physique** : Les lapins ont un corps couvert de fourrure douce, des oreilles longues et droites, de grands yeux sur les côtés de leur tête, et une queue courte et duveteuse. Ils possèdent de puissantes pattes arrière adaptées au saut. 2. **Taille et poids** : La taille et le poids peuvent varier considérablement selon la race, allant d’environ 500 grammes pour les plus petits à plus de 5 kilogrammes pour les plus grands. 3. **Comportement** : Les lapins sont connus pour être sociaux et peuvent vivre en groupes dans la nature. Ils communiquent entre eux par différents moyens, y compris par des sons et des mouvements corporels. Les lapins creusent des terriers pour y vivre et se protéger des prédateurs. 4. **Alimentation** : Ils sont herbivores, se nourrissant principalement de foin, d’herbes, de feuilles, de fleurs, et de certains légumes. Leur système digestif est adapté pour traiter une grande quantité de fibres. 5. **Reproduction** : Les lapins sont réputés pour leur capacité à se reproduire rapidement, avec des gestations courtes d’environ 28 à 31 jours. Une portée peut compter de un à douze lapereaux, selon la race. 6. **Sens** : Ils ont une excellente vision périphérique pour détecter les mouvements tout autour d’eux, mais ont une zone aveugle juste devant leur nez. Leur ouïe est également très développée, leur permettant de capter des sons à de grandes distances. 7. **Espérance de vie** : En captivité, les lapins peuvent vivre de 7 à 10 ans, selon la race et les soins prodigués, tandis que dans la nature, leur espérance de vie est généralement plus courte en raison des prédateurs et des maladies. Ces animaux nécessitent des soins appropriés, notamment un régime alimentaire équilibré, de l’exercice, et une attention particulière à leur bien-être émotionnel et physique pour vivre une vie saine et heureuse en captivité.

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Histoire

Histoire

Première nation noire à se libérer de l’esclavage et à obtenir son indépendance de la France en 1804 et a influencé d’autres mouvements de libération à travers le monde, inspirant des luttes pour la liberté et l’égalité.

Beauté naturelle

Beauté naturelle

Haïti est dotée de paysages naturels spectaculaires, notamment des plages de sable blanc, des montagnes et une biodiversité riche.

Patrimoine

Patrimoine

Haïti possède un riche patrimoine historique, notamment des sites comme la Citadelle Laferrière et le Palais Sans-Souci, classés au patrimoine mondial de l’UNESCO.

Culture

Culture

Haïti possède une culture riche et diversifiée, influencée par des éléments africains, européens et autochtones. La musique, la danse, l’art et la cuisine haïtiens sont célébrés à travers le monde.

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